Je ne voudrais pas adhérer à un club qui m'accepte comme membre.
Julius Marks, dit Groucho Marx

Devenir musicien, c'est sans doute chercher à mettre la main sur les sons, chercher à éduquer leur violence, à apaiser la vieille souffrance sonore.
[ Le salon du Wurtemberg ]
Pascal Quignard

L'Orchestre d'Harmonie de Montrouge a pour vocation d'accueillir tous les musiciens pratiquant un instrument à vent (bois, cuivres) ou les percussions, voire la contrebasse à cordes ou la basse électrique pour autant qu'ils acquittent leur cotisation annuelle (minime, fixée chaque année lors de l'assemblée générale). Nous sommes, cette année, 36 membres actifs (et musiciens...) inscrits.

Pas de condition d'accès, pas de quota par instrument. La seule obligation est de savoir déchiffrer toutes les partitions qui seront proposées... mais pas forcément d'arriver à les interpréter toutes !
Le seul critère retenu est le plaisir partagé de la pratique collective et le plus simple est de venir nous rejoindre un jour de répétition. (cf. Répétitions)

Pas de limite d'âge non plus. Les enfants mineurs sont accueillis pour autant qu'ils soient inscrits avec l'autorisation de leurs parents. Il est également souhaitable que ceux-ci les prennent en charge pour les emmener aux répétitions qui se tiennent le soir et viennent ensuite les rechercher.

Nul besoin d'habiter à Montrouge même si, bien évidemment, les répétitions ont lieu à Montrouge, dans la salle dite La Distillerie, sise au 27, rue Maurice Arnoux et si la grande majorité des prestations de l'orchestre se tiennent dans la ville.

À noter : Les sociétaires bénéficient de la gratuité des cours au conservatoire Raoul Pugno de Montrouge. Chaque année, l'association propose une liste de sociétaires souhaitant prendre des cours et satisfaction peut leur être donnée en fonction des places disponibles.
En outre, sur présentation de la carte d'adhérent, les sociétaires bénéficient du tarif réduit sur les spectacles de la programmation culturelle de la ville.

Contact : oh.montrouge@gmail.com

Le Français s'est toujours senti actionnaire d'une société dont chaque membre doit des comptes à tous les autres.
[ Positions et propositions (1928-1934) ]
Paul Claudel