Elle est assurée par un musicien professionnel afin de garantir une indispensable qualité de travail pour des musiciens amateurs, quel que soit le niveau de chacun d'entre eux.

Aucune institution ne peut survivre si elle a besoin de génies ou de supermen pour la diriger. Elle doit être organisée de manière à vivre sous la direction d'hommes normaux.
Peter Drucker

Nous avons confié la destinée de notre orchestre à Sylvain Dutouquet, tubiste à l'orchestre de la Police Nationale. C'est avec lui que nous avons monté en 2009 le concert Altaïr, en 2010 le concert Entre terre et ciel et en 2011 le concert Orchestre, soliste et autres formations. En 2012, c'est la création de la Symphonie Manouche et en 2013, le concert Montrer la voix. Pour 2014, ce furent les Harmonies Baroques et en 2015, les Contrées du jazz. En 2016, nous visitions Un monde merveilleux et en 2017, ce fut la réception de l'Union Musicale de Sainte-Maure de Touraine. En 2018, la Voix de jazz en harmonie était celle de Déborah Tanguy.

Depuis 2016-2017, Lucile Leclercq assure la direction
aux côtés de Sylvain.

C'est avec Martine Ramon, professeur de flûte au conservatoire Raoul Pugno de Montrouge que nous avons donné le concert Harmonie slave en avril 2007 et monté l'année précédente le projet Borilènes.


Federico Benedetti, le compositeur des projets Jazz Millenium Suite, Tauromachines et Borilènes, était notre précédent chef. Professeur de saxophone au conservatoire Raoul Pugno de Montrouge, il y dirigeait également l'atelier jazz. Il composa l'année précédente le projet Tauromachines pour orchestre d'harmonie et le groupe électro Bullda Light dont il fait également partie (cf. Documents sonores). Après avoir dirigé l'école de musique de Cluses (Haute-Savoie), il a désormais rejoint son Italie natale où il professe dans différentes écoles ; il a en outre réalisé différents enregistrements et s'est même lancé dans une carrière littéraire.
Le site de Federico Benedetti : www.federicobenedetti.com

Le directeur du conservatoire Raoul Pugno de Montrouge, Georges Guillaume, était alors le chef de l'Orchestre d'harmonie de Montrouge.